JENNYFER LOPEZ OU LA CAVERNE DE PLATON
Jennyfer Lopez a retourné le net avec son décolleté sulfureux aux Grammy Award de 2000. Les internautes ont tellement cherché à retrouver cette image que Google, à décidé par la suite de créer Google image search. Avant J-Lo et son décolleté Versace, cette option n'existait pas.
Mais qu'est-ce que la vérité, la justice, la beauté? Le monde intelligible?
Est-ce qu'en tapant paysage sur google, nous accédons à un premier reflet d'une flaque d'idée générique, du paysage, considéré en tant qu'ouverture?
Coupée, au bol d'air frais.
Faire justice c'est mettre à nu J-Lo? Ou la faire voyager? L'aveugler en lui détourant les yeux? Est-ce que son clip Love don't cost Thing est une critique acerbe de l'argent et de sa superficialité? Est-ce que sa robe est belle? Est-ce que son sourire est faux? Est-ce qu'elle reste entière même si on la découpe?
Le coeur de Jennyfer est rempli d'illusion, elle le dit dans sa chanson.
"Tu penses que je veux conduire ta Benz? T'en fais pas, j'ai la mienne."
Elle est prisonnière de son monde faussement sensible. Elle est éblouie par le bling bling et elle jette une grosse chaîne dorée par terre dans le clip. C'est du vrai or?
Sonnerie de téléphone; Love don't cost a thing
Voix; electra de voxygen
Paroles; Jennyfer Lopez et Sarah Vigier
Merci; Olivier Laric; Touch my body
A Maxime et Emilie Brout qui ont cru en cette vidéo (ouais je crois, j'en suis pas sûre, demandez-leur)