top of page

 PHOSPH7NE/

Pour décrypter les codes de l’art thiernois contemporain, PHOSPH7NE réunit en une exposition collective les artistes Thomas Andrzejewski, Clément Seger et Sarah Vigier à la Galerie du PIROU.

 

PHOSPH7NE est un bug.
PHOSPH7NE est cryptique et conscient de l'être.
PHOSPH7NE est un pigeon que l’on prend pour un robot.
PHOSPH7NE est l’enculée conception.
PHOSPH7NE est une fourrure.
PHOSPH7NE est un vendeur d'herbe non-binaire.
PHOSPH7NE est une poussière dans l’oeil.
PHOSPH7NE est un mac.
PHOSPH7NE est Acab les opticiens.
PHOSPH7NE est un vase clos qui met en branle la bienséance établie sur des principes d’équilibre.

 

« En fait, c’est la vision hallucinée de quelqu'un qui souffre du syndrome de Stendhal face à une overdose d'oeuvre ." Thomas A.

www.akapan.fr

"En réalité, l'histoire de Jesus n'est pas née autrement que par l'accouplement d'un homme et d'une femme : Marie et Joseph s'adonnaient comme le reste du monde du vivant à la jouissance de procréer. » Clément S.

https://clement-seger.wixsite.com/clementgeyser

« En général, la sculpture résiste à l’urssaf en étant usuelle et décorative (vaisselles, couverts, repousse c******s, boucles d’oreilles).» Sarah V.

Phosphène_ok.jpg

5Z1A7374.jpg
DSC08139ok.jpg
DSC08137oki.jpg
5Z1A7385.jpg
5Z1A7375.jpg
DSC08087ok.jpg
1.jpg

« Gypsy woman 1% » est une installation qui fait référence au pied droit de bronze (datant du IIème siècle arès JC) retrouvé dans des fouilles archéologiques à Clermont-Ferrand (2006). Les boutons, disposés comme une constellation, offrent une vibration féminine à la pièce - l’installation, si elle doit être présentée, devra être montrée dans un coin, espace sous-estimé, considéré comme prosaïque, dans la plupart des expositions contemporaines.

« Gypsy woman 1% » est également un clin d’oeil à son ancienne professeur des beaux-arts, Marion Robin, qui a obtenu le 1% artistique en réalisant le pied gauche du fragment antique (pied droit). Sarah Vigier réalise en quelque sorte 1% de ce pied, de par sa petite taille et son petit prix.

Sur une invitation de Dominique Godivier

Crédit photo : Camille Grosperrin et Romain Prottin.

bottom of page